L’Homme a détruit et continue à détruire les poumons du monde. Est-ce étonnant que ce soit à son tour de suffoquer?
Nous sommes tous unis. Si la vision spirituelle du Grand Tout est trop abstraite pour vous, pensez simplement à l’air que nous respirons. Ce que quelqu’un fait d’un côté de la planète se rependra sur tout le globe. L’air n’a pas de frontière. Il en va de même entre les humains et la nature. Ce que nous faisons a un impact sur elle et vis-versa.
Nous pourrions avoir l’impression de nous priver pour des raisons écologiques. Cependant, si nous nous reconnections à notre propre nature, je suis certaine que nos envies coïncideraient avec la préservation de notre belle planète. Notre bien-être dépend du sien. La Terre fait intégralement partie de notre équilibre. Pourquoi aurions-nous envie de scier la branche sur laquelle nous sommes assis? Si ce n’est parce que nous n’avons pas conscience de notre assise et du besoin fondamental que nous en avons?
Nous reconnecter à notre propre nature, c’est initier le changement dans la joie et non dans la privation.